Le double jeu de Morya Farhan

L’activité mentale de Morya Farhan exerce sur lui, un sabotage permanent de son esprit critique.  C’est comme dans le monde relatif, il y a le vrai et le faux. Le bon et le méchant. L’un ne va pas sans l’autre. D’un côté il y a le personnage de Morya Farhan, et de l’autre celui de Serge Lafaille. Ils entretiennent tous les deux un rapport ambigu avec le double jeu. C’est dans la forteresse commune que s’opère la transmutation d’un être, vers un autre être.

Morya Farhan se prend pour un Saint. Attention pas n’importe lequel. Un qui a un attrait démesuré pour l’image et l’apparence. Celui qui se fait passer pour ce qu’il n’est pas. Un qui cherche à tromper autrui sur sa propre personne, et sur son caractère. On peut déduire aussi, qu’il n’est pas trop cultivé, c’est un rusé qui utilise le plagiat. À de force de vouloir tromper autrui, il risque de se duper lui-même.

Serge Lafaille lui c’est différent, c’est l’homme des cavernes, il est brutal, primitif et narcissique. Il voit le monde comme une arène. Il a besoin d’exercer son pouvoir avec violence, c’est un mauvais perdant et un tricheur. Il a plusieurs identités. C’est lui qui est en retrait et qui fait les basses besognes. Il peut aisément sous couvert d’anonymat satisfaire son fantasme sur Internet. Il adore influencer les réseaux avec un flux continu de rumeurs. Il a des coups de gueules violents et diffuse la haine qu’il porte en lui. Il a perdu tout contact avec la réalité. Il est seul derrière son écran d’ordinateur. Son existence est plongée dans un malaise constant. D’ailleurs cela finit par se voir sur son visage. Il a une expression avec des yeux cernés. L’incidence directe de sa pensée malveillante se diffuse dans son corps. Ce qui est noué dans l’esprit vient se nouer dans le corps.

Mon spy dirait que c’est une pathologie mentale qui bouleverse terriblement son quotidien. C’est une personne en errance thérapeutique. Le spy parle aussi de trouble dissociatif de l’identité. On peut également déceler le syndrome d’Hubris. Il fait preuve de narcissisme, d’arrogance, de prétention, d’égotisme, voire de manipulation, de mensonge et de mépris. Faites attention il est dangereux, il peut être redoutable et peut avoir un pouvoir de nuisibilité sur la toile.

Comment faire ? Pour lui faire prendre conscience qu’il est atteint par le trouble dissociatif de l’identité.

Comment faire ? Pour lui expliquer que tenté de satisfaire son besoin d’agression aux dépens de son prochain, ce n’est pas bien et que c’est une faille de son esprit.

Comment faire ? Pour lui expliquer qu’il est fasciné par la dualité de sa propre personnalité, et qu’il va se retrouver piégé une fois de plus.

Le spy

Morya Farhan alias Serge Lafaille

Internet, et les réseaux sociaux ne sont pas une zone de non-droit. Comme dans la « vie réelle », quel que soit notre âge, les actes que l’on commet en ligne engagent notre responsabilité devant la loi. Alors si vous aussi, vous êtes victime de cyber harcèlement de la part de Morya Farhan alias Serge Lafaille, veuillez prendre contact avec nous.

Les sanctions encourues par les auteurs de violences en ligne.

L’auteur d’actes de violence ou de harcèlement en ligne peut voir sa responsabilité engagée au civil (réparations) et pénal (répression). Quelques exemples :

• une injure ou une diffamation publique peut être punie d’une amende de 12 000 € (art. 32 de la Loi du 29 juillet 1881) ;
• pour le non-respect du droit à l’image, la peine maximum encourue est d’un an de prison et de 45 000 € d’amende (art. 226-1, 226-2 du Code pénal) ;
• l’usurpation d’identité peut être punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende (art. 226-4-1 du Code pénal).

Par le biais de captures d’écran, vous pouvez vous-mêmes collecter les preuves de son harcèlement. Ces pièces seront utilisées contre lui pour lui faire cesser ces agissements.

Merci de prendre contact avec nous.

yeux-ouverts.

Morya Farhan, la machine à rumeurs.

Dans un monde où l’information est une arme, où elle constitue un code de vie, la rumeur agit comme un virus, et détruit l’esprit moral de la personne qui répand la calomnie.

La rumeur, c’est un mensonge qui se promène comme une vérité de bouche à oreille, et qui passe comme un soupir au-dessus du vent.

Les déformations introduites par les relais appauvrissent son contenu. Certains éléments sont sélectionnés et accentués. La distorsion s’opère alors dans le sens des intérêts et devient un mal pernicieux qui met en danger les sentiments et les opinions de ceux qui transmettent ce poison. Ce sont souvent des accusations mensongères portées sciemment contre quelqu’un pour jeter le discrédit.

Chez Morya Farhan c’est devenu une obsession dans laquelle son état affectif est représenté par une crainte paranoïaque. Il est de plus en plus mal inspiré et cède à d’odieuses et incessantes attaques qui lui permettent de cracher son venin le plus secret et de vomir la peste de sa méchanceté qu’il diffuse comme un serpent.

Nous sommes bien forcés de reconnaître que Morya Farhan est en proie à la maladie de l’obsession.

Son esprit est comme un abri commode où il se réfugie et se tient à l’aise avec toutes ses confusions. Il ressemble aux malheureux qui n’ont pas eu leur part d’événements et doivent mener aux dépens des autres une existence parasitaire. Sa langue a toujours du venin à répandre tel le paranoïaque qu’il est devenu. Il est hanté et ne cherche plus à agir sur lui. La rupture est si réelle derrière l’obsession, que jamais un changement ne le guérit de sa persécution. Malgré le caractère absurde et reconnu de sa névrose obsessionnelle il reconstruit un nouveau délire à chaque nouvelle occasion dont il ne parvient pas à se libérer. 

Il oublie surtout qu’il est devenu l’arroseur arrosé. Je m’explique. L’expression « arroseur arrosé » est entrée dans le langage courant et désigne celui qui commet une action qui se retourne contre lui. Il subit le contrecoup de ses actes, de ses comportements, par un effet boomerang.

Qu’il continue ainsi à répandre son venin, il fait grimper mes audiences.